Je n’ai pas pris l’avion pendant un an : voici comment j’ai continué à voyager

J’ai évité l’avion pendant un an : comment continuer à explorer le monde autrement

Prendre l’avion, c’est parfois une source d’angoisse ou même une envie délibérée de ralentir le rythme de ses voyages. Pourtant, la passion du voyage reste intacte, et il est tout à fait possible de nourrir son soif d’aventure sans monter à bord d’un avion. Dans cet article, je vous raconte comment j’ai réussi à ne pas prendre l’avion pendant un an, tout en conservant une vie de voyageur riche et inspirante. Suivez-moi pour découvrir mes astuces et alternatives pour voyager autrement, en toute sérénité.

Pourquoi j’ai décidé de ne pas prendre l’avion pendant un an

Au départ, c’était une combinaison de raisons qui m’a poussé à délaisser les airs : une peur tenace de l’avion, l’envie de voyager plus lentement et durablement, sans oublier une curiosité à découvrir le monde autrement. La pandémie et les restrictions de voyage ont aussi joué leur rôle en me forçant à repenser mes méthodes de déplacement.

La peur de voler touche 1 personne sur 4, et je faisais partie de ces voyageurs qui préfèrent chercher des solutions pour éviter ce stress quotidien. J’ai souvent préféré les trajets en bus, en train, voire en bateau, pour renouer intensément avec le paysage, la rencontre, et le voyage comme une aventure profonde, loin de la rapidité des vols courts-courriers.

Explorer sans avion : les modes de transport alternatifs

Pour continuer à rêver et à partir, la clé est d’embrasser pleinement les alternatives de voyage. Voici mes options préférées, testées et approuvées sur la durée :

  • Le train, roi du slow travel : certains voyages en train sont de véritables odyssées, comme traverser l’Europe en quelques jours, découvrir les Alpes en TGV ou partir sur la Transsibérien en Russie. Le train offre confort, panoramas magiques et rencontres uniques.
  • Le bus longue distance : économique et souvent plus flexible, le bus permet de s’arrêter dans des villages et villes secondaires, autrement inaccessible en avion. Souvent long, ce voyage se transforme en rite initiatique plein d’anecdotes.
  • Les voyages en bateau ou ferry : croisières, ferries inter-îles ou trajets fluviaux – ils sont l’occasion de vivre la mer et les paysages aquatiques tout en se déconnectant.
  • Le covoiturage longue distance : s’offrir une place chez un routier ou un nomade en voiture peut être une façon économique et conviviale de bouger tout en échangeant.

Chaque moyen a ses charme et défis. Ce temps lent donne du sens à la mobilité et change votre rapport aux distances.

Comment j’ai organisé mes voyages pour éviter l’avion

Le secret, c’est l’anticipation et la flexibilité. En effet, sans avion, les trajets peuvent être plus longs, et les itinéraires doivent s’adapter. Voici mes conseils essentiels :

  • Préparer ses étapes avec soin : utiliser des plateformes pour coacher les transports alternatifs et anticiper les connexions (sites spécialisés, applications multimodales).
  • Voyager hors saison ou privilégier les destinations accessibles en train ou ferry, comme certains pays européens ou l’Asie du Sud-Est en bateau.
  • Accepter la lenteur et s’ouvrir aux escales improvisées, souvent sources des plus belles découvertes.
  • Privilégier les hébergements locaux pour s’immerger vraiment dans chaque étape.

Si vos rêves vous poussent vers des escales lointaines comme Cuba ou l’Australie, sachez qu’éviter l’avion est souvent plus complexe, mais reste possible en combinant plusieurs modes.

Les avantages inattendus de mon année sans avion

Au-delà de combattre ma peur, cette année sans avion m’a offert des découvertes uniques et une perspective nouvelle sur mes voyages :

  • Une immersion plus intense dans les lieux visités, sans la fatigue habituelle des aéroports et des vols pressés.
  • Une empreinte carbone réduite, pour voyager plus responsable et en phase avec mes valeurs écologistes.
  • Des rencontres plus authentiques en privilégiant les transports terrestres où l’on croise plus facilement les locaux.
  • Le plaisir retrouvé de la route, ce rituel lent et contemplatif qui transforme chaque trajet en partie intégrante du voyage.

De ces expériences, j’ai aussi appris que le voyage peut s’adapter à vos contraintes, peurs ou envies profondes.

Mes ressources préférées pour voyager sans prendre l’avion

Pour ceux que cette aventure tente, voici quelques liens incontournables et plateformes que j’ai utilisées :

Ces outils vous aideront à franchir un cap et coûteront souvent moins cher qu’un billet d’avion en industrie low-cost, pourtant victime de nombreuses critiques (découvrir ce que les compagnies low-cost ne vous diront jamais).

Oser la lenteur pour un voyage plus riche

Pour conclure, éviter l’avion n’a rien d’un frein au voyage, c’est une invitation à réinventer sa manière de découvrir. En privilégiant le temps, la découverte locale et les déplacements alternatifs, on se reconnecte à l’essentiel du voyage : l’émerveillement, les rencontres humaines et la liberté d’explorer à son rythme.

Alors, prêts à tenter l’aventure sans avion ? N’oubliez pas que le voyage commence aussi par la préparation. Pour tout savoir sur comment prendre l’avion sereinement quand vous souhaiterez tenter l’expérience, ne manquez pas ce précieux guide pour une première fois réussie.

Et surtout, n’hésitez pas à partager en commentaire vos propres astuces ou expériences sans avion. Ensemble, poursuivons le rêve d’un monde à découvrir, plus serein et plus responsable !

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